Comment faire de meilleures photos ?

Quand j’ai débuté, j’avais les mêmes préjugés que tout le monde sur ce qu’il fallait faire pour faire de belles photos. Ces mêmes conseils que les tontons-matos d’un autre âge osent carrément asséner aux professionnels de la photographie lors des évènements familiaux comme les mariages. Eviter le contre-jour, utiliser le flash intégré, avoir un bon appareil, zoomer, ne pas couper les pieds, centrer, rester en JPEG, ne surtout pas passer par un logiciel de retouche. Cette dernière, je l’ai moi-même sortie à un photographe aguerri à qui j’ai dit que « moi, je voulais faire de la vraie photo sans tricher ». Petite naïve. Heureusement, je suis tombée sur de meilleurs conseils par la suite. Voici ceux qui m’ont permis de changer de paradigme.

L’appareil photo est moins performant que nos yeux.

L’appareil photo est une machine. Par définition, il ne peut pas toujours restituer correctement la scène qui se présente sous nos yeux. Quand il se trompe, il faut corriger. C’est exactement la fonction première d’un logiciel de « retouche ». Evidemment, l’idéal est de faire les meilleurs réglages possibles dès la prise de vue pour n’avoir plus qu’à peaufiner. Mais tout n’est pas toujours fidèle à la réalité dès la prise de vue. Sachez qu’un JPEG n’est qu’une interprétation automatisée par la logiciel interne de l’appareil photo. Si vous souhaitez faire vos choix de A à Z sans perdre en qualité d’image, privilégiez le RAW. Une fois optimisé sur le logiciel, vous pourrez exporter en JPEG. Sur un smartphone, n’hésitez pas à modifier vos images avec les applications dédiées : votre smartphone sera rarement aussi pratique qu’un boitier pour faire les bons réglages dès la prise de vue.

Rapprochez-vous au lieu de zoomer.

Avec un smartphone, plus vous zoomez, plus vous perdez en qualité d’image. Et la qualité, c’est important pour imprimer une photo nette. De manière générale, évitez le zoom. Zoomez avec vos pieds. Vos images n’en seront que plus intéressantes et vous découvrirez à quel point bouger change la place des objets/sujets dans la composition de vos images. Le meilleur conseil qu’on m’ait donné pour progresser et devenir plus créative et plus précise : privilégier la focale fixe (objectif de plus grande qualité souvent moins cher et plus lumineux mais qui ne permet pas de zoomer autrement qu’en s’approchant).

Soignez votre arrière-plan.

Au début, on se concentre tellement sur ce qu’on prend en photo qu’on ne fait même pas attention à la poubelle (ou tout autre élément perturbateur) qui est sur notre photo. Petit à petit, on fait attention à faire disparaître les objets disgracieux en se rapprochant de notre sujet, en le décalant, en faisant un pas de côté pour changer d’angle, en modifiant notre hauteur de prise de vue, en changeant de fond ou en faisant le ménage. Les images obtenues sont tout de suite plus agréables.

Evitez le flash.

Evidemment, si vous n’avez pas de source de lumière pour garder un souvenir du moment que vous vivez, mieux vaut une photo-souvenir moche avec le flash que pas d’image du tout. Mais si vous avez assez de lumière pour ne pas risquer la photo noire, bannissez le flash intégré à votre boitier (ou tout flash direct qui éclaire depuis le même point de vue que là où vous êtes placé). Privilégiez toujours d’autres sources lumineuses. Et si vous voulez utiliser un flash sur votre boitier, faites le rebondir ailleurs avant de laisser sa lumière arriver sur votre sujet. Sinon, c’est plat, moche, disgracieux. A moins que ce ne soit l’effet que vous recherchez. Mais en général, vous chercherez plutôt à mettre en valeur votre sujet, pas à l’amocher.

Le sujet n’a pas besoin d’occuper le centre de l’image.

Vous pouvez couper les pieds, ça permet au(x) visage(s) de prendre plus de place sur l’image. Mais on évite de couper au milieu d’une articulation sinon ça fait moignon. Et vous pouvez mettre votre sujet ailleurs qu’au centre, ce sera souvent plus dynamique. Quand on débute, le plus simple est de placer notre sujet (priorité à ses yeux) sur une ligne (verticale ou horizontale) située au tiers du cadre ou sur le point de rencontre entre ces lignes. Vous pouvez même remplir l’image de votre sujet ! Aucune obligation de laisser de l’espace autour de lui !

Le bon appareil est celui que vous avez.

Quel que soit l’appareil que vous avez dans les mains, si vous suivez les conseils de tonton-matos au lieu de suivre ceux des professionnels, votre photo a peu de chances d’être qualitative. Ce n’est pas le nombre de pixels qui compte (quoiqu’un minimum soit requis pour permettre d’imprimer des images nettes). C’est ce que vous choisissez de mettre dans votre image qui fait une bonne photo : la façon dont vous placez votre sujet, la quantité de lumière et de temps que vous choisissez d’y mettre, ce que vous incluez autour de votre sujet (et donc ce que vous avez pris soin d’exclure de votre cadre). On peut faire d’excellentes photos avec un smartphone mais aussi de très mauvaises images avec le meilleur appareil du monde. C’est le soin que vous apportez à votre regard qui compte, pas votre matériel.

Réglez votre balance des blancs.

S’il n’y avait qu’un réglage à soigner après coup (si ce n’était pas fait à la prise de vue), ce serait celui-là. C’est lui qui détermine les couleurs de votre photo. Le minimum est de corriger les éventuelles erreurs qui changent la couleur de la peau. C’est un équilibre à trouver entre la température (du jaune au bleu) et la teinte (du vert au violet). Si la peau est trop verdie, on tire la teinte vers le violet. Si la peau est trop bleuie, on tire la température vers le jaune. L’exposition (la luminosité) se règle à la prise de vue et peut se peaufiner à la retouche. Le mode automatique d’un appareil de prise de vue se charge d’exposer de façon neutre. Si vous voulez plus sombre ou plus clair, c’est à vous de le faire. Sur la mesure de la lumière, nos appareils se débrouillent souvent très bien. L’erreur la plus fréquente du mode automatique, c’est la balance des blancs. C’est LE réglage qui change tout.

J’espère que ces quelques conseils que j’ai moi-même suivis pour débuter vous permettront de progresser à votre tour !

Défi Noël 2022 – No SmartFood

Séance Grossesse au Treh : Charlène

En juin dernier, j’avais prévu de fermer mon entreprise pour raisons familiales.
Voici la dernière séance grossesse que j’ai réalisée avant la clôture.
Je n’ai donc pas eu la joie de photographier
le petit bout qui était dans ce joli bidon rond.
Je n’avais même pas pris le temps de partager mes images.
Mais, ayant décidé de reprendre plus tôt que prévu, les voici !
Le temps de la Golden Hour d’été est révolu
mais les couleurs dorées de l’automne sont à notre disposition maintenant !

Séance Nouveau-Né à Thann : Lilian

Après une séance grossesse de dernière minute dans la mousse des bois,
Lilian a pu profiter du confort de mon studio portatif à domicile.
En ressortent ces images toutes douces sur son petit nuage bleu.
Mention spéciale pour le mur jaune de la photo de famille dont j’ai raffolé !
Bleu et Jaune, ce sont les couleurs de ma maison.
Le temps radieux. La joie.

Séance Grossesse à Thann : Charlotte

J’ai eu l’immense plaisir de photographier à nouveau Charlotte et sa famille
pour une séance grossesse de quasi dernière minute !
Nous nous sommes retrouvés tout près de chez moi,
près d’une cascade que j’adore, très accessible, peu fréquentée et riche en mousse des bois !
Bébé s’avèrera être un petit frère, né quelques jours après ce crapahutage forestier !

Séance Naissance en Famille à Cernay : Léonard

Cette famille me fait confiance depuis le début
de mes aventures de photographe professionnelle.
Quelle reconnaissance !
Je me suis régalée pendant ce moment passé en leur compagnie.
Non seulement nous nous entendons à merveille
mais en plus je suis une fan inconditionnelle de la déco d’Anneline.
Je vous proposerais bien des mini-séances devant ce mur incroyable !
Je copie ici leurs mots qui ont touché mon cœur après la livraison de leurs images.

Par quoi commencer ?
Simplement peut être merci 🙏
Le diaporama m’a fait verser des larmes de bonheur en voyant les photos défiler.
Vous avez tellement bien capté les instants importants a nos yeux.
Vous êtes un rayon de soleil.
Depuis notre première rencontre ça a été le cas,
vos sourires, vos cris et danses de la joie nous mettent de bonne humeur
et votre douceur, bienveillance avant pendant et après les séances font chaud au cœur.
Merci infiniment pour ces clichés ils sont tout simplement magnifiques 🙂

Séance Naissance en Famille à Mulhouse

Quel bonheur de lire vos retours sur les photos que je vous livre !

Wouah merci beaucoup pour ces merveilles, les photos sont incroyables, on est sous le charme ❤ Le nombre de photos est impressionnant, on va pouvoir en faire plein de choses c’est vraiment chouette ! Merci encore 1000 fois de nous avoir dégoté un créneau de dernière minute et merci pour votre bienveillance et votre professionnalisme. Les photos rendent exactement comme j’en rêvais… Nous ne manquerons pas de parler de vous autour de nous 🙂 

Séance Naissance en Famille à Strasbourg

Cette merveilleuse famille m’a fait confiance pour photographier son premier bébé.
Un moment partagé très agréable et des discussions passionnantes !
J’aime beaucoup ces séances où bébé reste dans vos bras,
celles qui reflètent votre lien naissant, votre apprivoisement familial.

Merci pour pour votre autorisation de publication sur mon site,
c’est vraiment le plus important pour moi.
Ainsi, d’autres parents peuvent avoir un aperçu
des images que je peux réaliser pour eux aussi.
Tout m’a plu dans cette séance alors je suis vraiment
très heureuse de pouvoir en partager un extrait.

Séance Famille aux Châtaignes dans les Vosges

J’ai passé un moment en forêt avec cette jolie famille cet automne !
Au programme, ramassage de châtaignes
(ce qui m’a permis d’apprendre une technique pour les ouvrir sans se piquer les doigts), construction de cabane miniature, descente dans un trou et montée dans un observatoire.
Sans oublier le goûter !
La maman, à travers cette idée de séance,
a transmis à ses enfants une expérience de sa propre enfance.
Je vous en partage quelques images.

Lire la suite de « Séance Famille aux Châtaignes dans les Vosges »

Quelle boîte à histoires ?

Lors du premier confinement, ma fille avait 2 ans et demi.
Elle est donc tombée dans les écrans (faute à notre manque d’énergie) avant ses 3 ans.
Heureusement, depuis, j’ai lu que la règle du 3-6-9-12 ne s’appuyait sur aucune étude scientifique
et que les premières études fiables menées sur le sujet parlent plutôt
d’éviter les écrans tant que le langage n’est pas bien installé
puis de les limiter à 1 heure par jour pour les enfants de 2 à 6 ans.
Notre usage des écrans était rétrospectivement dans les clous.
Mais en sortant de confinement, j’ai ressenti l’urgence de proposer
quelque chose qui prendrait la place des écrans fraîchement instaurés.
Je me suis alors jetée dans les librairies pour me procurer les livres
des histoires découvertes en vidéo comme Peppa Pig ou Disney.
Et puis, j’ai entendu parler d’un objet miraculeux : la Fabrique à Histoires de Lunii.
On me l’a tellement vantée comme outil anti-écran
que je me suis laissée convaincre et que je suis tombée dans la marmite.
Les résultats ont été à la hauteur de mes espérances.
Les livres et la Lunii ont suffit à éradiquer les écrans en douceur !
(Jusqu’au deuxième confinement…)

Après avoir acheté la Lunii, j’ai découvert qu’il existait
d’autres fabricants de machines à histoires audio pour enfants :
Bookinou, Joyeuse et même Clémentoni.

Edit du 18 janvier 2022 :
Depuis, nous avons aussi offert à notre fille l’enceinte Merlin.

BOOKINOU

Lorsque Lunii a mis en place son application studio
permettant d’enregistrer des histoires par les proches, Bookinou faisait doublon.
Et puis, quitte à raconter des histoires des livres présents à la maison,
je préfère les raconter en vrai plutôt que de les enregistrer.
Les quelques unes enregistrées n’ont même pas été écoutées par ma fille.
Quant aux systèmes d’autocollants, je le trouve encombrant.

JOYEUSE

Lorsque j’ai découvert ce cube à histoires,
j’ai vite compris qu’il n’était pas adapté à ma fille
puisqu’elle ne faisait pas au quotidien les gestes (dits instinctifs)
qui permettent de faire fonctionner l’appareil.
Mais lorsqu’il a fallu trouver un cadeau pour mon filleul de moins de 2 ans,
je n’ai pas osé lui proposer la Lunii (réputée à partir de 3 ans)
et me suis tournée vers la Conteuse Merveilleuse de Joyeuse.
C’était l’occasion de la tester.
Quelle déception… Si j’avais su, j’aurais pris la Lunii directement pour lui aussi.
Nous sommes 4 adultes et 3 enfants à avoir pesté contre ce cube soi-disant instinctif.
Les gestes sont très aléatoires.
Combien de fois nous sommes-nous relayés pour nous échiner à faire fonctionner l’appareil ?
Même réglé sur la sensibilité adaptée aux bébés…
Quand on comprend enfin le geste à effectuer,
les histoires ne sortant que dans un ordre aléatoire,
combien de fois nous sommes nous énervés
pour trouver l’histoire demandée par l’enfant ?
Vraiment, une grande déception.
Pour un tarif bien supérieur à celui de la Lunii.
Son seul point fort est son autonomie (outre son côté décoratif).

LUNII

La Lunii, elle, a changé nos vies. Vraiment.
Ses boutons sont très intuitifs.
Les enfants même plus petits savent très vite la prendre en main.
Ils savent par coeur le chemin pour accéder à ce qu’ils veulent écouter précisément.
Elle peut contenir des histoires à écouter de A à Z
mais aussi des comptines, des exercices de relaxation et des histoires participatives.
Elle propose même un contenu pédagogique adapté à des grands comme à des petits :
des histoires passionnantes pour mémoriser les règles d’orthographes,
des quizz des Incollables, l’Histoire de France, la mythologie, l’écologie…
Elle livre des adaptations audio de contenus connus comme
Il était une fois la vie, Mickey, Monsieur Madame…
Il est possible d’y ajouter des enregistrements (de notre voix ou d’une musique).
Depuis peu, il y a même un abonnement (facultatif) qui permet
de s’offrir chaque mois un nouvel album à prix avantageux.
Elle est résistante aux traitements des enfants (sauf à l’eau)
et en cas de panne, le Service Après Vente est très efficace.
Il existe même un mode nuit qui permet d’écouter plusieurs histoires d’affilée
avec une luminosité et un son réduits
dont les paramètres sont réglables individuellement.
Il y a une prise casque et ils en proposent même un sur leur site
qui permet de respecter une certaine limite de décibels
pour le bien des oreilles de nos enfants.
Notre fille utilise ce qu’elle appelle sa « boîte à histoires » pour boire son biberon du matin,
pour l’accompagner dans ses coloriages et surtout pour s’endormir le soir.
Au point que pour ne pas tomber en panne de batterie au mauvais moment,
nous en avons acheté une deuxième toujours chargée.

MERLIN
(ajout du 18 janvier 2022)

L’enceinte Merlin est sortie à l’automne 2021.
Comme j’écoute beaucoup France Culture et un peu France Info,
j’en ai inévitablement entendu parler dans leurs publicités.
Ayant choisi d’abonner ma fille à « J’apprends à lire » et « Les belles histoires »,
j’étais séduite par l’idée qu’elle puisse feuilleter ces magazines
en écoutant leur contenu sur l’enceinte Merlin
.
Alors je me la suis procurée.
Clairement, nous la trouvons complémentaire à la Lunii
que nous n’abandonnerions pas pour autant.
Il reste une petite marge d’amélioration pour l’enceinte Merlin.
La force de Merlin, c’est son contenu supplémentaire gratuit
dont un enrichissement régulier est prévu.
Si je devais offrir une boîte à histoires
en permettant aux parents d’ajouter du contenu supplémentaire gratuitement,
c’est assurément vers Merlin que je me tournerais.
Surtout qu’en plus du contenu des magazines il y a un riche contenu radiophonique.
L’autre point fort est qu’il n’y a pas besoin de passer par un ordinateur
pour ajouter du contenu, l’application smartphone suffit.
Ce qui rend la Merlin moins pratique que la Lunii c’est la sélection des histoires.
Bon point pour le classement par grandes catégories.
On y retrouve par exemple les animaux, les héros,
histoires pour rire, contes d’autrefois, contes d’aujourd’hui,
documentaires, histoires musicales, relaxation
et il y a même un bouton coeur pour les favoris !
Mais l’écran de sélection présente des images en couleurs
et reste allumé pendant la lecture du contenu (là où celui de la Lunii s’éteint).
Ce qui pose une difficulté concrète,
c’est que le titre des catégories et des histoires
n’est pas présenté à haute voix
(embêtant pour les enfants non lecteurs) :
il est seulement écrit et défile
(ce qui rend la sélection longue quand on doit attendre
avec patience que le titre défile pour pouvoir le lire jusqu’au bout).

Autre point noir, le son qui ne peut pas être baissé aussi bas que sur la Lunii.
En revanche, peut-être que celui de la Lunii monte moins haut pour son maximum
(ce qui est moins pratique dans un environnement déjà un peu bruyant
ou quand le moteur d’une voiture thermique tourne).
La Merlin a toutefois une prise casque comme sur la Lunii.
Pour la connexion wifi, pas de panique,
elle ne sert que lorsqu’on se connecte avec l’application
pour mettre à jour le contenu de l’appareil
et se désactive aussitôt la tâche terminée.

MAIASAURA
(ajout du 14/02/2023)

Enfin une enceinte (avec prise casque)
qui permet de mettre à disposition de nos enfants
n’importe quel MP3
puisque cette boîte à musique (et histoires)
fonctionne avec une carte microSD.
Désormais, c’est la Maiasaura que je conseille
lorsque l’on veut offrir un tel appareil à un petit,
sans coincer ses parents !
Ma fille ne s’en lasse pas et mes filleuls non plus
(alors qu’ils n’avaient pas accroché avec la Lunii) !

CONCLUSION

Voilà mon retour d’expérience concernant notre choix
d’appareils à raconter des histoires audio pour rester à l’écart des écrans.
J’espère qu’il sera utile à d’autres parents qui ne savent pas lequel choisir.
Vous aurez compris que pour moi,
la palme d’or est décernée à Lunii.
C’est en tout cas celle qui était la plus adaptée aux enfants de mon entourage
et que nous trouvons la plus aboutie
(même si des améliorations progressives sont encore en cours).
La deuxième place revient à Merlin
qui a le mérite de proposer une offre réellement complémentaire
et globalement plus économique
quand on prend en compte la gratuité des contenus supplémentaires
(bon point pour l’offrir en laissant leur liberté aux bénéficiaires).